Quelques Lieux
Pour vous les membres bientôt nous irons ici au sanatorium de DREUX.
Sanatorium de Dreux vue Panoramique
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l'Histoire du SANATORIUM DE DREUX :
Maurice Viollette, Maire de Dreux (en Eure Et Loir près de Chartres) de 1908 à 1959, Ministre du Ravitaillement en 1917, Gouverneur de l'Algérie de 1925 à 1927 et Ministre d'État de 1936 à 1938, entreprit avec l'architecte Sarrut la construction près des Bas-Buissons, d'un énorme complexe étendu sur plusieurs dizaines d'hectares : le Sanatorium de Dreux.
Le complexe se divise en de nombreuses parties.
Le préventorium Thérèse Viollette ouvert le 1er mai 1931. Sa capacité fut portée jusqu'à 300 places en 1939 après la construction d'un lazaret et du pavillon des enfants.
Le sanatorium « clinique Laennec » ouverte en 1932. Ensemble de trois bâtiments parallèles d'une capacité de 400 lits. Les différentes parties du bâtiment et les ailes se nommaient : pavillon Pasteur, Calmette, Kosh, Villemin et Guersant. Le personnel du sanatorium s'élevait à environ 200.
-Une maison de repos ouverte en 1935. Capacité de 50 lits, qui accueillait des femmes et des jeunes filles. Ce bâtiment fut transformé en centre de cardiologie en 1955.
-Un établissement gériatrique commencé en 1939 mais stoppé à cause de la guerre. Il était destiné à recevoir de vieux couples.
A partir de 1946, le complexe devint le service tuberculeux de l'hôpital de Dreux. Mais peu de temps après, de nouveaux médicaments anti-tuberculeux firent leur apparition, le complexe devint rapidement obsolète et il fut en partie abandonné au milieu des années 60. Le préventorium se transforma en institut médico-pédagogique de 1962 à 1980. Et jusqu'à la fin des années 80 certains pavillons accueillaient des malades incurables, c'était devenu un mouroir.
En 1999, la ville de Dreux acheta cet immense complexe pour un franc symbolique.
Aujourd'hui, les maisons individuelles, entourant le complexe, sont habitées par des gardiens et du personnel de la ville. Seul le bâtiment le plus éloigné est encore en activité, il est utilisé comme centre aéré. Tout le reste du sanatorium est à l'abandon.
Un an après son ouverture, en 1933, le sanatorium de Dreux est victime de phénomènes paranormaux.
Plusieurs patientes se plaignent de saignements inexpliqués, les médecins examinent chacune des femmes pour rechercher la cause de ces saignements mais au final, il ne trouvent aucunes explications.
Ces phénomènes déclenchent une psychose dans le sanatorium. Les plus grands médecins arrivent à Dreux pour résoudre cette énigme, mais faute de répondre à la question d'une façon rationnelle, les plus folles hypothèses sont annoncées : sorcellerie, possession...
Au fil des années, le sanatorium se vide, la réputation d'un établissement médical hanté le met en danger.
Depuis sa fermeture fin des années 80, le Sanatorium conserve son lot de mystères...
Des milliers de personnes s'y aventurent pour prendre des clichés de ce gigantesque monument à l'abandon et le moins que l'on puisse dire c'est que les retour sont à chaque fois unanimes : les lieux sont hantés !
Depuis juin 2016, une pétition a été lancée pour effectuer la destruction de ce lieu hanté suite au décès d'un jeune homme de 19 ans qui aurait fait une chute mortelle de 5 mètres dans la cage d'escalier.
Un jeune homme ayant visité les lieux mentionne :
"Des choses bizarres se produisent, même dans les locaux administratifs de l'hôpital. Des dossiers disparaissent et réapparaissent, des choses posées à un endroit sont retrouvées le lendemain à un autre.... Dans les sous-sol des archives, des kilomètres de couloirs et d'étagères de dossiers lorsqu'on y travaille chaque jour on ressent des présences , on entend des bruits, des pas, des voix.... mais on ne voit rien ! Par contre la ou cela fait vraiment peur, c'est dans les bâtiments désaffectés : couloirs, salles, escaliers, sous-sols , un froid glacial vous saisit, des courants d'air, votre portable qui ne capte plus, votre caméra qui s'arrête, des pas, des voix , des bruits sourds... on sent des mouvements tout autour, on ne voit rien."
lES FIANCES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU
Le journaliste, qui enquête depuis 30 ans sur le meurtre d'un jeune couple et de son chien, publie un deuxième livre sur le sujet, enrichi des procès-verbaux rendus publics.
Le journaliste indépendant Christian Porte travaille sur l'affaire des « fiancés de Fontainebleau » depuis près de 30 ans. C'est le 31 octobre 1988 que Gilles Naudet et Anne-Sophie Vandamme, tous deux âgés de 25 ans, ainsi que leur chien Dundee, ont été tués, dans la forêt de Fontainebleau, dans le massif des Trois-Pignons. Il vient de publier un second livre sur ce mystère, « Les vérités interdites d'un fiasco judiciaire », après avoir enrichi son enquête des procès-verbaux désormais publics.
Pourquoi publier un second livre après le premier paru en 2006 ?
En 2006, le dossier judiciaire des fiancés assassinés de Fontainebleau n'était pas encore frappé de prescription. Depuis son entrée en vigueur en 2011, la justice a définitivement renoncé à connaître la vérité ! Les meurtres d'Anne-Sophie Vandamme et Gilles Naudet resteront à tout jamais impunis. Cette idée n'est pas acceptable. Mais depuis 2011, le dossier n'est plus couvert par le sacro-saint secret de l'instruction. J'ai donc pu revisiter l'affaire étape par étape, pièce d'instruction par pièce d'instruction...
Selon un détenu, « le chien du couple a été tué́ par méprise »
Qu'avez-vous découvert ?
La liste des zones d'ombre, qui persistent, est impressionnante. Ainsi l'impossibilité des enquêteurs à̀ trancher la question fondamentale de la scène du crime, qui n'est pas forcément le lieu de découverte des corps. Le procureur Lucas a parlé de « déplacement post-mortem ».
Il y a aussi les confidences d'un chauffeur routier condamné pour meurtre et évoquant à son codétenu « un groupe de huit personnes, dont une femme », qui serait impliqué dans les faits. Selon lui, « le chien du couple a été tué́ par méprise et les jeunes gens ont été abattus par deux de ces individus ». Le codétenu a été interrogé, le chauffeur, non.
Un témoin a raconté avoir appris la découverte des cadavres avant l'annonce officielle...
Un octogénaire explique que 48 heures avant la découverte des cadavres, il a été abordé avec sa filleule, à la gare de Bois-le-Roi, par un inconnu révélant que « les corps des deux jeunes gens disparus en forêt de Fontainebleau venaient d'être retrouvés ». Ce témoignage ne sera jamais pris en considération par la juge d'instruction.
Vous citez aussi le personnel de l'office national des forêts (ONF)...
Aux assises, un agent a expliqué que leur chef de l'époque, qui s'est suicidé en 1994, « avait peur qu'on trouve les corps au sous-sol d'une maison forestière ». Aucune véritable enquête n'a eu lieu sur le suicide de cet homme, témoin n° 1 car il surveillait les parties de chasses.
200 000 heures d'audition « pour rien »
Dans quelles mesures peut-on parler de fiasco judiciaire ?
Les 200 000 heures d'audition, 4 000 documents et procès-verbaux établis, 1 500 personnes entendues durant treize ans, n'ont servi à rien. Au final, le meurtrier présumé, un adolescent âgé de 17 ans, a été acquitté par la cour d'assises de l'Essonne. Pourquoi avoir fait comparaître un seul individu alors que les expertises balistiques évoquent deux armes et deux tireurs ? De plus, il n'existe aucune preuve matérielle pour confondre les auteurs. Les trois juges successifs ont renoncé à approfondir les recherches à partir de traces ADN. La reconstitution demandée par la partie civile et la défense a été refusée.
Quelle est votre intime conviction ?
On ne peut ignorer le poids du lobby de la chasse, où se côtoient des notables locaux, des industriels de renommée internationale, des représentants du monde politique local... Mon intime conviction est que la justice a tout fait pour ne pas trouver les meurtriers.
« Les vérités interdites d'un fiasco judiciaire », par Christian Porte chez Edilivre Éditions. 28 €.
Repères
31 octobre 1988 : disparition d'Anne-Sophie Vandamme, Gilles Naudet et leur chien Dundee, en forêt de Fontainebleau dans le massif des Trois Pignons, en limite de la Seine-et-Marne et l'Essonne. Leurs familles respectives habitent les Yvelines et le Val-de-Marne, à l'époque.
10 janvier 1989 : découverte des trois corps recouverts de fougères coupées et entourées de douilles.
13 février 1999 : mise en examen de Cédric, un adolescent âgé de 17 ans en 1988, de son père et d'un ami de son père pour homicides volontaires. Ces deux derniers bénéficieront d'un non-lieu car « les faits n'apparaissent pas clairement établis ». Le jeune majeur se rétracte, après avoir avoué dans un premier temps.
Novembre 2001 : après 1 000 jours de détention provisoire, Cédric est renvoyé devant la cour d'assises des mineurs de l'Essonne. Il est acquitté.
2006 : Parution du livre « Qui a tué les fiancés de Fontainebleau ? », de Christian Porte, chez France Europe Éditions.
2011 : l'affaire est prescrite.
Exclusivité pour vous des photos de l'intérieur de la maison
Nous nous posons des questions sur la Maison
La Maison que nous appelons Maison de l'Angoisse est elle bien leur maison ?
Nous ne savons pas mais d'après l'histoire précédente le couple a été tué par des chasseurs, soit disant par erreur mais cette maison est peut être une maison de chasse ou un refuge de chasseurs ... nous ne pouvons pas l'affirmer.
Par la suite nous ne savons pas non plus si le couple a vraiment été tué dans cette maison, mais nous avons beaucoup de certitude qu'il y a eu plusieurs choses dans cette maison, qu'il y a un ou plusieurs esprits dans ce lieu. A qui sont ils on ne le sait pas encore, on essayera de le découvrir lors de nos prochaines visites..
Nous avons une Hypothèse, le couple a été tué dans la maison, par plusieurs chasseurs mais les meurtriers ont déplacé les corps à la Mare au Jonc à Vert le petit, les corps sont plus faciles à déplacer si ils sont plusieurs.
Ceci n'est qu'une hypothèse mais dans une de nos vidéos, nous avons un PVE, lorsque que je demande : "vous avez été tué ici ?".
On entend un "OUI". Donc un mystère à découvrir si ce ne sont pas les fiancés de fontainebleau, alors à qui appartiennent ces esprits et pourquoi ont ils été tué ?
Prochaine enquête la bas avec une "ouija" et "spiritbox" pour essayer d'avoir plus de réponses à nos interrogations, à nos questions...
Essayer aussi de découvrir et comprendre par qui et pourquoi ces personnes ont été tué ?
Pour vous les membres bientôt nous irons ici aussi j'espère au domaine des 3 colonnes.
L'Urbex le Domaine des 3 colonnes est une exploration bien connue et incontournable dans le milieu des urbexeurs. Construit au début du 20e siècle, le domaine a connu plusieurs propriétaires et fût progressivement délaissé puis abandonné pour des raisons aujourd'hui assez floues.
Deux choses principales à explorer sur place : le manoir, bien sûr, mais aussi l'immense parc dans lequel vous trouverez les fameuses 3 colonnes. À noter la présence de quelques œuvres de Street art dans le manoir même.
Le site est potentiellement dangereux et son accès est interdit. Il n'est pas gardienné 24h/24, mais la mairie est située tout près dans les anciennes dépendances du domaine. Les forces de l'ordre peuvent donc être facilement appelées par les fonctionnaires travaillant sur place !
Double meurtre, suicide et déportation ! Plusieurs histoires dramatiques ont jalonné la vie des différents propriétaires du domaine. Ces lieux sont-ils maudits !?
Parking et stationnement
Si vous trouvez l'adresse par vos propres moyens, vous ne pourrez pas stationner en toute discrétion près de l'une des 2 entrées principales. L'une se trouve près d'un bâtiment administratif et communal, et l'autre est dangereuse à cause de la circulation. Garez-vous en ville pour l'une ou sur des emplacements de stationnement gratuits pour l'autre.
Pour vous les membres bientôt nous irons ici aussi j'espère au Républicain à Evry
Abandonné depuis 2012, le site historique du Républicain l'Essonne offre la possibilité d'une session Urbex. Il se trouve dans un quartier d'Évry un peu excentré par rapport au centre-ville, tout près de la Nationale 7.
Comme souvent pour ce type de lieu, le site est potentiellement dangereux !
Son accès est probablement interdit ! Je dis probablement, car aucun panneau ni indication n'en interdit l'accès et le passage se fait à pied, librement sans aucune difficulté !
L'entrée se fait par ce qui fut autrefois le parking principal.
Le site se compose de trois bâtiments distincts : la tour principale et deux hangars.
Le Parisien vue panoramique
Il faut prendre les escaliers pour monter, car les ascenseurs sont gardés par de charmantes vigiles.
Une terrasse panoramique entoure le hall d'accueil et le comptoir où étaient accueillis les visiteurs.
